Torcé

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Torcé
Torcé
L'église paroissiale Saint-Médard à Torcé.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Yannick Fouet
2020-2026
Code postal 35370
Code commune 35338
Démographie
Gentilé Torcéens
Population
municipale
1 241 hab. (2021 en augmentation de 4,29 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 42″ nord, 1° 15′ 57″ ouest
Altitude Min. 69 m
Max. 104 m
Superficie 14,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vitré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.mairie-torce.fr

Torcé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 241 habitants[Note 1] (les Torcéens).

Géographie[modifier | modifier le code]

Infrastructures[modifier | modifier le code]

Le territoire communal de Torcé est traversé par deux importantes infrastructures :

  • la route nationale 157, qui permet de relier Rennes à Paris, avec un échangeur au nord du bourg, qui a pu contribuer au développement démographique du bourg, ainsi qu'au développement économique, avec la création d'une zone d'activités industrielle ;
  • la ligne LGV Bretagne-Pays de la Loire, en chantier courant 2013, qui est le prolongement à l'ouest de la LGV Atlantique, permettant de rapprocher Rennes de Paris, coupe la commune en deux et passe à moins de 500 mètres du bourg.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 769 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arbrissel à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 718,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Torcé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (31,9 %), terres arables (31,6 %), prairies (26,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,5 %), zones urbanisées (3,7 %), forêts (0,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Torceio en 1093, Torcé en 1196, Torceyo en 1469[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1574 un coup de main nocturne fut effectué par des paysans de Torcé, Argentré et Le Pertre menés par leurs seigneurs contre les protestants de Vitré. Ils participèrent aussi, avec d'autres paysans venus de 53 paroisses du pays vitréen, au siège de Vitré par les Ligueurs au printemps et à l'été 1589[14].

Une partie de la seigneurie de La Haye en Torcé s'étendait dans la paroisse de Vergeal. Un aveu daté du présenté par Marie de Rabutin Chantal, veuve du « haut et puissant seigneur messire Henri de Sévigné », déclare « ladite dame qu'elle a droit de faire mettre un banc à queue dans l'église de Vergeal, advis l'hostel [autel] de Notre-Dame, armoyé de ses armes, prohibitif et deffensable »[15].

Un chemin des saulniers (emprunté par les faux-sauniers pratiquant la contrebande du sel entre la Bretagne et le Maine, pays de gabelle, passe à la limite des communes de Veneffles (désormais annexée par la commune de Châteaugiron) et d'Ossé avec celles de Chaumeré (désormais annexée par la commune de Domagné) et Saint-Aubin-du-Pavail, puis, après avoir traversé Domagné, passe à la limite de celle de Cornillé avec celles de Torcé et Louvigné-de-Bais avant de rejoindre, via Étrelles et Argentré-du-Plessis, Le Pertre. Ce chemin des saulniers est d'origine ancienne, c'est probablement une ancienne voie romaine ; son tracé se lit encore très bien sur une carte, empruntant successivement de l'ouest vers l'est des tronçons des routes départementales D 93, D 104, D 35, à nouveau D 104 et enfin D 33[16].

Révolution française[modifier | modifier le code]

Torcé fait partie des communes déclarées totalement insurgées en 1793-1794[17]. Une compagnie chouanne exista à Torcé ; elle était membre de la "colonne de Saint-Didier et Pocé", qui elle-même dépendait de la division de Vitré de l'Armée catholique et royale de Rennes et de Fougères ; elle fut dirigée par Pierre Rossignol, puis par Louis de Chabert[18]. La "colonne de Saint-Didier et Pocé" était divisée en plusieurs compagnies : la compagnie de Torcé (dont le capitaine était René Martin, le lieutenant Louis Cordé), la compagnie de Saint-Didier, la compagnie de Cornillé, la compagnie de Pocé.

Le 4 floréal an II (), le général Kléber donne ordre aux troupes stationnées à Vitré, en « laissant les routes garnies [ = surveillées] », de se porter « sur Vergeal, en passant par Cornillé et Torcé »[19].

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le journal Le Courrier écrit le  : « Un horrible assassinat vient d'être commis près de Vitré. Le maire de Torcé, accompagné par son beau-père, regagnait son domicile lorsqu'il fut accosté par deux réfractaires. La conversation s'engage ; le maire les stimule à se soumettre, et leur parle avec confiance. Tout à coup ces deux misérables s'élancent sur le maire, lui arrachent le fusil dont il est porteur et l'un l'étend mort de deux balles, pendant que l'autre bat le beau-père qui, meurtri de coups, a eu beaucoup de mal à regagner Vitré »[20]. Cet événement est lié à l'insurrection légitimiste de 1832.

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Belle Époque[modifier | modifier le code]

Lors du recensement de 1901, on compte 75,6 % d'agriculteurs, 5,55 % de journaliers et en plus de nombreux domestiques parmi la population active de la commune[21].

Le journal Ouest-Éclair du écrit à propos de l'inventaire des biens d'église : « À Izé, Torcé, Champeaux ont eu lieu des tentatives d'inventaire ; là, comme dans les autres paroisses, les agents du fisc et les gendarmes se sont retirés devant les protestations et le refus d'ouvrir les portes. De Vitré, on entend le tocsin sonner dans les villages voisins, et de toutes parts on organise la résistance, et on veille, en attendant le crochetage »[22].

Le , M. de Langle, maire de la commune, est condamné à 6 jours de prison et 200 francs d'amende par le tribunal correctionnel de Vitré pour avoir le outragé les gendarmes dans la cour de son château des Ténières lors de l'inventaire des biens d'église à Torcé[23].

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Selon un article publié en 1926, l'école laïque de Torcé n'aurait eu à cette date aucun élève, mais conservait un enseignant titulaire[24].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Torcé Blason
Écartelé de sable et d'argent au lion morné brochant de l'un en l'autre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
         
avant 1906 après 1906 Yves de Langle[25]    
         
avant 1952 après 1952 Pierre de Langle[26]   Fils d'Yves de Langle
         
1953 1971 Alfred Baslé    
1971 1983 Marcel Esnault   Gendre d'Alfred Baslé
mars 1983[27] mars 2014 Michel Desrues[28]    
mars 2014[29] En cours Yannick Fouet DVG Responsable sélection avicole

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 1 241 habitants[Note 4], en augmentation de 4,29 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
756690691802713764802805836
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
816796772761731710681732708
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
634630638585633630638630649
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
6515965926817889161 1441 1441 147
2015 2020 2021 - - - - - -
1 1901 2411 241------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un tissu industriel à dominante agro-alimentaire.

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne de bus n°9 de Vitré Communauté.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune compte 127 bâtiments inventoriés[34].

L’église Saint-Médard remonte au XIe siècle et est inscrite comme monument historique depuis 2003[35]. Le retable lavallois du maître-autel[36] est de Pierre Corbineau ; il date de 1652 et a été restauré en 1995.

Le château des Tesnières construit par l'architecte Jacques Mellet en 1860 pour la famille de Langle.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Torcé et Arbrissel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Michel Lagrée, La structure pérenne, événement et histoire en Bretagne orientale, XVIe – XXe siècles, "Revue d'histoire moderne et contemporaine", juillet 1976, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5446239g/f86.image.r=Pertre?rk=5600886;0
  15. M. Etasse, Documents inédits concernant la baronnie de Vitré, "Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine", 1910, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207795g/f141.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais
  16. Paul Banéat, Étude sur les voies romaines du département d'Ille-et-Vilaine, "Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine", 1927, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k122073r/f98.image.r=Domagn%C3%A9
  17. Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
  18. Il s'agit probablement de Louis Gabriel de Chabert, né le à Sainte-Marie-Laumont, dont le frère Pierre-Louis Chabert fut emprisonné au château de Thorigny comme "parent d'un chef de chouans", voir http://www.normannia.info/pdf/jourdan1907.pdf, page 174
  19. Jean-Baptiste Kléber, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f453.image.r=Cornill%C3%A9?rk=2060096;0
  20. Journal Le Courrier, n° du 10 juillet 1832, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4708827c/f3.image.r=Pertre?rk=128756;0
  21. V. Aubin, "Étude démographique de l'arrondissement de Vitré, 1986, cité par Jean Ollivro,"Bretagne. 150 ans d'évolution démographique", Presses universitaires de Rennes, 2005, (ISBN 2-7535-0086-X).
  22. Journal Ouest-Éclair no 3288 du 9 mars 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6410026/f3.image.r=Poc%C3%A9?rk=5622345;2
  23. Journal Ouest-Éclair no 3315 du 5 avril 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k641029j/f3.image.r=Saint-Aubin-des-Landes?rk=2424904;4
  24. Union des associations catholiques des chefs de famille, Écoles laïques sans élèves, "École et famille : bulletin mensuel de l'Union des associations catholiques des chefs de famille", juillet 1926, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5784375w/f124.image.r=Marpir%C3%A9?rk=21459;2
  25. Yves Marie de Langle, né le à Vitré, décédé le à Rennes
  26. Pierre de Langle, né le à Torcé, décédé le à Rennes
  27. « Municipales à Torcé. Michel Desrues, le maire, ne se représente pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
  29. « Municipales à Torcé. Yannick Fouet est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Présentation de la commune de Torcé, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  35. « Eglise Saint-Médard », notice no PA35000022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Retable du maître-autel, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]